Vous pourriez demander : « Comment est-il payé pour jouer au football ? « Quand tu vois des footballeurs qui ne valent pas la peine d’être vus sur le terrain ou qui ne valent pas les crampons qu’ils portent. » Ils vous font douter exactement de la manière dont les clubs recrutent ces joueurs.

Vous avez peut-être essayé de dresser une liste de footballeurs qui n’étaient pas faits pour le jeu ou de chercher sur Google les pires joueurs de football à avoir jamais joué au jeu.

Vous pourriez en nommer une poignée et vous demander comment certains d’entre eux ont réussi à rejoindre des équipes de premier plan, mais aucun d’entre eux n’est aussi ridiculement mauvais que Carlos Kaiser. « Le footballeur farce ».

L’article a été publié pour la première fois le 2 juin 2017 | et mis à jour le 27 novembre 2022

Qui est Carlos Kaiser ?

Carlos Henrique Raposo (né le 2 avril 1963), connu sous le nom de Carlos Kaiser, est un ancien footballeur brésilien qui a joué (et s’est entraîné) comme attaquant (et escroc) dans les années 1970, dans les années 80 et au début des années 90,

Raposo a commencé sa carrière de jeune avec Botafogo avant de passer à Flamengo, l’un des clubs les plus connus du Brésil.

Il a impressionné les scouts de Puebla lors d’une session d’entraînement en 1979, et après avoir passé quelques mois à l’étranger sans participer à aucun match officiel, il a été libéré. Sa grande mascarade a commencé à son retour au Brésil.

Carlos Kaiser a compensé son manque de prouesses athlétiques par des compétences interpersonnelles, se liant d’amitié avec un certain nombre de joueurs de premier plan dans différentes équipes ainsi que des journalistes, qu’il a tous exploités comme un réseau pour faciliter les mouvements et promouvoir sa réputation sans jamais jouer dans aucun. jeux professionnels.

Il commencerait sa mascarade en négociant des contrats à court terme et en déclarant tout de suite qu’il devait travailler sur sa forme physique afin d’être prêt pour le match.

Il prétendait souvent avoir des blessures aux ischio-jambiers lors des séances d’entraînement en équipe pour masquer ses capacités médiocres, et si les équipes voulaient approfondir la question, son dentiste confirmait toujours qu’il avait une infection focale.

L’attaquant peut être qualifié de fraude au football car il a réussi à se faire signer pour des équipes d’Amérique du Sud et d’Europe sans aucune contribution positive.

Son style était de simuler des blessures pour éviter les sélections le jour du match et en raison du manque de technologies avancées, il s’en est sorti avec la plupart de ses escroqueries.

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L’une de ses astuces était d’être ami avec des journalistes afin qu’ils écrivent de fausses nouvelles à son sujet. Dans un article de journal, il a été rapporté qu’il avait passé un si bon moment à Puebla (l’un des clubs pour lesquels il a joué) qu’il a même été invité à devenir citoyen mexicain pour jouer pour l’équipe nationale.

Il est ensuite retourné au Brésil et a commencé une carrière de footballeur farce puisqu’il « voulait être footballeur, mais ne voulait pas jouer au football ».

À son retour au Brésil, il se lie d’amitié avec de nombreux footballeurs tels que Carlos Alberto Torres, Ricardo Rocha et Renato Gaúcho afin qu’il puisse avoir un grand réseau à recommander chaque fois qu’il a besoin d’un nouveau club.

Il a également utilisé des téléphones portables jouets, impopulaires et chers à l’époque, pour créer de fausses conversations en langues étrangères ou sur le rejet d’offres de transfert pour créer l’image d’un joueur de valeur auprès des clubs.

Une autre fois, il a affirmé avoir joué en Argentine à Talleres de Córdoba et Independiente étant amené par un homme nommé « Alexandre», qui était un ami de Jorge Burruchaga.

Il a également affirmé qu’il faisait partie de l’équipe qui a remporté à la fois le Copa Libertadores 1984 et Coupe Intercontinentale 1984 en se présentant comme Carlos Enrique, un joueur argentin qui faisait vraiment partie de l’équipe.

En 1986, il s’installe en Europe et rejoint le club français de Division 2 Gazélec Ajaccio. Lors de sa présentation, le club a organisé une séance avec les fans, craignant d’être pris, il a tiré toutes les balles vers la foule tout en embrassant l’insigne du club.

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Il a à peine joué au club et est retourné au Brésil l’année suivante, bien que son amitié avec des journalistes lui ait valu plus tard un article où il était décrit comme l’un des meilleurs buteurs du Gazélec Ajaccio où il avait joué pendant huit saisons.

De retour au Brésil, il a rejoint Bangu où il a de nouveau utilisé sa mascarade de fausse blessure. Cependant, Castor d’Andradele principal sponsor et mécène du club était fatigué de voir Kaiser s’entraîner et a exigé qu’il soit sélectionné pour jouer.

Au départ, sur le banc, Castor a dit à l’entraîneur de jouer Kaiser alors que son équipe perdait par 2-0 et a envoyé le joueur s’échauffer. De nouveau effrayé d’être pris, il a vu un groupe de supporters donner le bâton aux joueurs et s’est mis à les combattre pour qu’il soit expulsé avant même d’entrer sur le terrain.

Après le match, Kaiser a menti au patron que les supporters traitaient son père de voleur. Kaiser a été pardonné et a obtenu une prolongation de six mois.

Son dernier club était Vasco da Gama, et les autres équipes pour lesquelles il a travaillé étaient Puebla, Botafogo, Flamengo, Gazélec Ajaccio, Bangu, Fluminense, El Paso Sixshooters América (RJ) Guarany Futebol Clube.

Source principale : Wikipédia

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